Né à près de deux mille mètres d’altitude, à huit cent kilomètres de là, il déboule à plus de mille sept cent mètres cube d’eau par seconde dans la Méditerranée. Depuis la nuit des temps, le Rhône livre sur les berges du golfe du lion, le sable qui vient s’échouer et forme progressivement le tapis minéral : la plage à la condition que l’homme ne contrarie ni le cours d’eau, ni le trait de côte.
En Camargue, on y constate parfois une activité radioactive voir en fin d’article.
Merci de patienter quelques secondes pendant le temps de chargement de la page. Pour visiter cette série, préférez un écran dans le sens de la largueur et faites défiler la page de haut en bas
*Plus d’infos sur la radio activité en Camargue dans ce rapport de 2007 « Evaluations dosimétriques de l’exposition potentielle liée à l’accumulation naturelle d’uranium et de thorium dans les sables de certaines plages du littoral de Camargue » produit par l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN)